Avec un risque de déficit de pluie, l’été pourrait s’annoncer sec, voire très sec.
Un printemps sous le signe de la chaleur
Les climatologues sont formels : dans 70 % des scénarios envisagés, la France connaîtra un excédent thermique sur la période mars-avril-mai.
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Il faut s’attendre ainsi à des températures au-dessus des normales saisonnières, une tendance qui s’installe depuis plusieurs années.
Les masses d’air chaud des lieux de l’ouest de l’Europe devraient s’incruster, soutenues par des courants atmosphériques. Résultat ? Un printemps doux, voire estival par moments.
Il n’y a rien de dramatique à court terme mais les conséquences pourraient se faire sentir dès l’été, notamment en matière de sécheresse et d’incendies.
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Sécheresse : des régions sous surveillance
Bonne nouvelle, les nappes phréatiques commencent l’année avec un niveau plutôt correct. Moins bonne nouvelle : Météo-France estime qu’il y a une probabilité non négligeable (50 %) que le printemps soit plus sec que la moyenne.
Les régions du Sud-Ouest et du Sud-Est risquent d’être en première ligne face au manque de prélèvement. Si les perturbations atlantiques ne viennent pas tout ruiner, certaines zones comme le Massif central ou les territoires méditerranéens pourraient en souffrir dès le début de l’été.
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Et qui dit sécheresse dit restrictions d’eau et peut-être dès le printemps. Les collectivités et les agriculteurs surveillent ce phénomène de très près.
Un été moins brûlant qu’en 2023 ?
Pour les amateurs de fraîcheur : si le printemps s’annonce chaud, l’été pourrait être un peu plus clément que les dernières années.
Selon les modèles actuels, les vagues de chaleur de 2025 devraient être moins extrêmes qu’en 2022 et 2023.
En cause, les perturbations atlantiques pourraient refaire surface en juin et juillet en limitant la prolongation. Mais attention, rien n’est encore officiel. Les prévisions restent à affiner dans les mois à venir.
Une tendance qui confirme le réchauffement climatique
Derrière ces prévisions se cache une tendance de fond : le réchauffement climatique continue d’influencer notre météo. Des printemps plus chauds, des étés intenses, des orages plus violents… Pas de doute, le climat joue les montagnes russes.
Même si l’été 2025 pourrait être moins torride que les précédents, la hausse globale des températures n’est pas près de s’arrêter. Il faut ainsi agir en gérant mieux les ressources en eau et en renforçant les infrastructures face aux coups de chaud.
Bref, préparez vos lunettes de soleil et surveillez le ciel… Ce printemps risque bien de faire grimper le mercure !