Mais le gouvernement a décidé de jouer le rôle de sauveur en lançant une aide financière qui devrait faire du bien à plus d’un conducteur.
Une aide indispensable pour alléger les finances
Achat d’un véhicule, carburant, assurance, entretien, on parle de milliers d’euros chaque année pour faire rouler sa voiture. En moyenne, un automobiliste français débourse environ 4 525 euros par an juste pour garder sa voiture en état de marche.
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Et avec la hausse des prix du carburant, qui est passée de 1,22 euro en janvier 2020 à 1,70 euro en 2025, la situation ne s’améliore pas.
Pour alléger cette charge, le gouvernement a réactivé la prime carburant afin de soulager le budget des automobilistes.
Comment ça fonctionne et qui est concerné ?
Contrairement au chèque carburant qui est directement versé par l’État, c’est l’employeur qui distribue la prime carburant. Elle vise à compenser une partie des frais de déplacement entre la maison et le boulot.
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Et bonne nouvelle, cela concerne aussi bien les conducteurs de voitures thermiques que ceux roulant à l’électrique.
Pour bénéficier de cette aide en 2025, il faut répondre à l’une des conditions suivantes :
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- Vivre ou travailler dans une commune sans transports publics réguliers,
- Habiter une ville de moins de 100 000 habitants
- Avoir des horaires qui ne collent pas avec les transports collectifs.
Mais attention, c’est l’employeur qui décide s’il va mettre en place cette prime ou non dans son entreprise.
Entreprises : des avantages fiscaux à la clé
Pour inciter les entreprises à jouer le jeu, l’État a prévu des avantages fiscaux intéressants. Dès 2025, les cotisations sociales vont connaitre une exonération jusqu’à 300 euros pour les automobilistes contre 200 euros auparavant.
Pour ceux qui roulent en voiture électrique, la prime sera encore plus avantageuse avec un plafond d’exonération qui s’élève à 600 euros.
De quoi alléger la note pour ceux qui font le choix de l’électrique, tout en encourageant la transition énergétique.
L’impact sur le budget des ménages
Une prime de 300 euros par an (600 euros pour les véhicules électriques) représente une aide non négligeable quand on sait qu’un automobiliste dépense en moyenne plus de 370 euros par mois pour sa voiture.
Cette mesure pourrait faire une vraie différence surtout dans un contexte économique un peu tendu. De plus, elle pourrait booster l’adoption des voitures électriques grâce à ce plafond d’exonération plus élevé.
Un coup de pouce pour l’environnement, tout en prenant en compte les réalités économiques des Français. Qui dit mieux ?
