L’Insee a récemment publié une étude pour le moins intrigante. Vous êtes curieux de savoir quel est le jour où le décès frappe fort ?
Indice : ce n’est pas un jour férié. Allez, on va plonger dans les détails !
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Le jour le plus meurtrier en France révélé
D’après cette étude sérieuse, 639 300 décès ont été enregistrés en France l’an dernier. Une bonne nouvelle car ce chiffre est en recul de 5 % par rapport à 2022, qui reste une année noire.
Cela signifie près de 35 900 vies sauvées, un chiffre qui équivaut à peu près à la population d’une petite ville !
En 2022, la France a été frappée par cinq vagues de COVID-19, deux grippes (avril et décembre), et des canicules estivales suffocantes en juillet et août.
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Cependant, le 3 janvier décroche tristement la palme du jour le plus meurtrier sur les 20 dernières années. En moyenne, 1 900 décès y sont enregistrés chaque année. La Saint-Valentin de la mortalité, si on peut dire…
À l’inverse, le 15 août, avec son air estival et ses cigales, est le jour où l’on meurt le moins à cause du soleil, des vacances, et peut-être une petite part de magie.
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Week-ends et jours fériés : des moments de répit ?
Le 3 janvier, juste après les fêtes, est souvent le moment où les corps lâchent après avoir tenu bon pour célébrer les fêtes avec la famille.
L’Insee explique aussi que c’est une période où les opérations chirurgicales programmées reprennent. Le cocktail parfait pour une augmentation des décès.
En revanche, les jours fériés, comme le 15 août ou Noël, semblent offrir une protection. Le nombre de décès baisse légèrement par rapport aux jours voisins.
Et le dimanche ? Journée sacrée pour le repos, même pour la mort. Avec seulement 1 550 décès en moyenne, c’est le jour le moins meurtrier.
L’hiver, ce tueur silencieux
Entre 2004 et 2023, les mois hivernaux montrent leur sombre visage. En janvier, les décès grimpent de 14 % !
Février n’est pas en reste avec +12 %, et décembre vient compléter ce triste podium. Ce sont surtout les seniors qui en pâtissent, particulièrement les plus de 60 ans.
Et pourtant, dès que l’été pointe le bout de son nez, les chiffres s’effondrent. En juin, juillet et août, la mortalité chute de 14 % chez les 90 ans et plus. Une vraie bouffée d’air pour les seniors.
Alors, si vous êtes du genre à râler contre la canicule, souvenez-vous qu’elle sauve des vies !
