Le 12 octobre 2024, cette action extrême survient après plusieurs années de galère. En effet, il a dû se battre contre la lenteur des démarches judiciaires et l’inaction des autorités.
L’appartement en question, situé dans un quartier populaire de Brest, est squatté depuis 2017 par plusieurs familles roumaines.
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Malgré des tentatives de récupération du logement, telles qu’une plainte en novembre 2023 et une offre de 2 000 euros pour convaincre les squatteurs de partir, le propriétaire n’a rencontré que des refus et une situation de blocage totale.
Les recours légaux sont restés sans effet et les démarches administratives interminables ont permis aux squatteurs de repousser constamment l’expulsion.
C’est dans ce contexte que le propriétaire a choisi de passer à l’acte le 12 octobre en profitant de l’absence des squatteurs partis en Roumanie pour un enterrement.
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Le propriétaire a littéralement détruit son logement
Muni de ses outils, il a détruit méthodiquement son bien : plancher, escaliers, réseaux d’eau et d’électricité. Tout a été endommagé rendant l’appartement totalement inhabitable. Ce geste désespéré visait à empêcher toute nouvelle occupation, même après le retour des squatteurs.
Et pour marquer encore plus son point, il a pris soin d’évacuer leurs affaires dans la rue. Il les a laissé éparpillées sur le trottoir.
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Lorsque les squatteurs sont revenus, ils ont retrouvé leurs effets personnels en vrac. C’est un message fort et choquant certes, mais qui visait clairement à dissuader toute tentative d’intrusion future.
Il n’est pas question ici d’un coup de sang impulsif mais bien d’une action réfléchie, mûrie. C’était très utile dans un contexte où l’impatience et la frustration des propriétaires face à des recours sans fin et une justice trop lente sont de plus en plus courantes.
En détruisant les infrastructures essentielles et en rendant son bien invivable, ce propriétaire a montré qu’il n’y avait plus de retour possible.
Ce geste extrême soulève des interrogations sur l’efficacité des mécanismes légaux et la lenteur du système judiciaire face à des situations de plus en plus fréquentes.
Souvent désemparés, les propriétaires se retrouvent face à un mur avec peu de solutions réelles pour récupérer leurs biens.
Bonjour à l’équipe,
Merci pour ce très intéressant reportage.
Je voulais laisser une suggestion: mettre l’option « partage » je voulais partager sur le WhatsApp de mon mari et mes enfants, mais pas possible.
Bonne journée.
Il est impensable qu’il faille autant de temps pour expulser des squatters, que font la justice et la police.
Non seulement ces gens touchent tres souvent des revenus de l’etat mais en plus il faut les loger gratuitement, que ceux qui les défendent les accueillent chez eux.