Imaginez que vous n’aurez pas à payer un centime d’impôt l’an prochain ! Et ce n’est pas un rêve !
Si vous respectez une condition clé, vous pourriez rejoindre les millions de Français qui profiteront de cet avantage fiscal en 2025.
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Alors, vous voulez savoir comment alléger la pression sur votre portefeuille ? Allez, on décrypte tout ça ensemble !
Impôts : ces fameux seuils qu’il faut comprendre
On va commencer par la base : le revenu net imposable. Chaque année, la DGFiP (Direction Générale des Finances Publiques) fixe des seuils d’imposition. Si vous restez en dessous, vous réduisez, voire annulez, vos impôts.
Pour 2025, ces fameux seuils ont été revalorisés de 2 %. Ces montants varient selon votre situation familiale. Alors, qu’est-ce que ça donne ?
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- Célibataire : pas d’impôt si vos revenus 2024 sont inférieurs à 17 486 €.
- Couple sans enfant : plafond fixé à 32 651 €.
- Couple avec deux enfants : ne dépassez pas 44 171 €.
- Parent solo avec un enfant : votre revenu net imposable doit rester sous les 29 006 €.
Et si vous dépassez les seuils ?
Pas d’inquiétude si votre revenu dépasse de peu. Des dispositifs malins existent pour alléger la facture. Il y a par exemple l’abattement forfaitaire de 10 %.
Cette petite déduction sur vos revenus déclarés est automatique et peut faire toute la différence.
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On va prendre un cas concret :
Vous gagnez 1 600 € par mois, soit 19 200 € à l’année. Avec cet abattement, votre revenu net imposable tombe à 17 280 €. Résultat : votre impôt passe de 633,60 € à seulement 47,30 € grâce à une décote.
Si ce montant final descend sous les 61 €, on parle de micro-impôt. Cela signifie que le fisc laisse tout tomber. Donc pas d’encaissement.
L’équité fiscale en question
Évidemment, cette situation pose un débat. D’un côté, des contribuables respirent, allégés de toute charge fiscale. De l’autre, certains soutiennent un poids financier plus lourd. Un équilibre à trouver, peut-être ?
Mais en attendant, gardez l’œil sur ces seuils et profitez des dispositifs existants. Après tout, pourquoi payer plus quand on peut payer moins, voire pas du tout ? Comme dirait l’adage : « Qui ne tente rien n’a rien ! »