Et voilà qu’avec des seuils de revenus revalorisés chaque année, certains foyers risquent de tomber dans une tranche d’imposition plus élevée qui entraîne ainsi une augmentation de leurs prélèvements sociaux.
La question se pose alors : êtes-vous prêt à faire face à cette hausse ?
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Les enjeux de la revalorisation de la CSG en 2025
On le sait, la CSG est un incontournable des prélèvements sociaux en France. Mais son évolution en 2025 va secouer les retraités, notamment ceux dont les revenus côtoient avec les seuils d’imposition.
Le barème des cotisations sociales a déjà grimpé à 4,8 %, d’après la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse (CNAV). En outre, le gouvernement envisage d’élargir l’assiette de fiscalité pour environ 40 % des retraités dont les revenus dépassent un certain niveau.
À cela s’ajoute un système complexe où les taux de CSG varient en fonction du Revenu Fiscal de Référence (RFR) et de la composition du foyer.
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Vous l’aurez compris, il ne faut pas se laisser surprendre par ces changements qui risquent de peser lourd sur le budget de 18 millions de Français dont de nombreux retraités.
Les mécanismes et conséquences de la hausse de la CSG
Cette hausse de la CSG peut s’avérer sournoise. Une légère hausse de vos revenus et vous voilà propulsé dans une tranche supérieure.
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Et si vous pensez pouvoir échapper à tout ça, détrompez-vous. Même avec un système de lissage du taux de CSG, certains retraités risquent de voir leur pension nette baisser malgré une revalorisation de leur retraite.
Le problème est qu’il va falloir jongler avec les différents régimes de retraite et la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP).
Ce qui risque de créer quelques décalages dans l’application des nouveaux taux. Pour certains, les ajustements risquent de ne pas arriver de façon très harmonieuse.
Exonérations et spécificités fiscales à connaître
Heureusement, il y a quelques exceptions ! Certains retraités peuvent bénéficier d’exonérations partielles ou totales de la CSG.
Si vous touchez l’Allocation de Solidarité aux Personnes Âgées (ASPA) ou l’Allocation Supplémentaire d’Invalidité (ASI), vous êtes souvent exonéré de cette contribution.
De plus, si votre RFR est inférieur à un certain seuil, vous pourriez échapper à la hausse de la CSG. Mais attention, chaque foyer a ses spécificités et il faudra bien connaître les règles en vigueur.
En outre, la CSG est partiellement déductible de l’impôt sur le revenu. Bien sûr, ce n’est pas une baguette magique mais cela peut réduire l’impact de la hausse sur votre pouvoir d’achat.
Les retraités vivant à l’étranger peuvent également être concernés par des exonérations particulières, sous certaines conditions. Un petit détail qui pourrait faire toute la différence pour les seniors expatriés.