Depuis le 1er janvier, une nouvelle réglementation a chamboulé la vie de nombreux conducteurs en Île-de-France. En cause, l’amélioration de la qualité de l’air.
Et pour y arriver, la Métropole du Grand Paris a interdit l’accès à la zone à émissions faibles de mobilité (ZFE-m) pour les véhicules les plus polluants.
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Un fléau pour la santé publique : la pollution de l’air
On ne le dira jamais assez : la pollution de l’air est un véritable tueur à petit feu. Selon les experts, elle est responsable chaque année de millions de décès prématurés dans le monde. En France, les chiffres officiels évoquent des dizaines de milliers de vies fauchées.
Pour cela, l’État a donc décidé d’agir. L’objectif est de chasser progressivement les véhicules thermiques des routes d’ici la fin de la décennie. En outre, on lutte aussi contre le réchauffement climatique et, surtout, on protège la santé des citoyens.
ZFE-m : un pas de plus vers un air plus pur
Depuis 2019, on essaie de redresser la barre en Île-de-France. Les véhicules les plus polluants, à savoir ceux avec un Crit’Air 4 ou 5, sont déjà interdits dans le périmètre de l’A86.
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Et attention, pour ceux qui n’obéissent pas aux règles, des amendes salées sont à la clé.
Et en 2025, on monte d’un cran. Cette fois, les véhicules Crit’Air 3, comprenant notamment les voitures essence immatriculées avant 2006 et les diesels d’avant 2011, seront eux aussi bannis de la zone.
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Cette mesure a du être mise en place dès 2022 mais a été repoussée à plusieurs reprises avant d’être définitivement instaurée pour 2025.
Impact sur les conducteurs : un sacré défi
À l’heure où cette nouvelle réglementation débarque, la question qui se pose est évidente : comment vont réagir les conducteurs concernés ?
Le Grand Paris prévoit des radars automatiques pour vérifier que tout le monde joue le jeu. Sauf que ces radars ne seront installés qu’en 2026. Du coup, la question du contrôle pour ce début de l’année se pose.
Mais on reste optimistes car les chiffres montrent une belle diminution des voitures polluantes sur les routes, et le nombre de véhicules propres explose. C’est la preuve que les automobilistes commencent à intégrer les nouvelles règles et à passer au vert.
Automobilistes : entre inquiétudes et adaptations
Alors, que faire pour ne pas se retrouver dans l’embarras ? Le secret est l’anticipation. Informez-vous sur les nouvelles règles, vérifiez votre Crit’Air et prenez vos précautions.
Et surtout, n’oubliez pas que certaines infractions peuvent coûter jusqu’à 750 € et entraîner la mise en fourrière du véhicule.
Une bonne raison de ne pas attendre le dernier moment pour vérifier si votre voiture n’est pas dans la liste officielle.